Informations utiles
Soyez acteur de votre santé !
Le Laboratoire International d’analyses Biomédicales s’engage à faciliter votre accès aux tests et aux techniques de diagnostiques innovants.
Nous sommes des experts de la biologie médicale avec une proposition d’analyses cliniques classiques et de biologie spécialisée.
La réalisation de certaines analyses nécessitent de prendre certaines précautions et recommandations que vous retrouverez ci-dessous :
La maladie thromboembolique est une pathologie multifactorielle qui peut être définie comme une anomalie héréditaire ou acquise de l’hémostase prédisposant aux thromboses.
On distingue trois principales catégories de facteurs de risques de maladie thromboembolique : les facteurs de risque acquis, génétiques et mixtes.
Ce bilan est prescrit en cas de :
– Thrombose veineuse récidivante
– Thrombose veineuse ou embolie pulmonaire survenant chez le sujet jeune avant l’âge de 45 ans.
– Complications gestationnelles : au moins deux morts fœtales précoces inexpliquées ; éclampsie et pré-éclampsie sévère.
– Antécédents familiaux de maladie thromboembolique veineuse (avec épisodes authentifiées chez au moins 2 apparentés)
– Localisation inhabituelle dite insolite de thrombose (cérébrale, mésentérique, portale, rénale..).
Les IST entraînent souvent une inflammation des voies génito-urinaires. S’ils ne sont pas traités, ils peuvent conduire à l’infertilité.
Certains agents pathogènes, tels que Treponema pallidum, peuvent provoquer une infection généralisée, qui peut conduire au décès des patients.
Parfois, les symptômes n’apparaissent que tardivement ou à certains stades de l’infection, de sorte qu’ils restent souvent non détectés pendant une longue période.
Chez les femmes enceintes, les IST peuvent entraîner la mort intra-utérine, une naissance prématurée ou des lésions du fœtus. En outre, de nombreux agents pathogènes peuvent être transmis au nouveau-né pendant la naissance, provoquant des graves infections postnatales.
La détection combinée de ces agents pathogènes est particulièrement utile pour clarifier des résultats cliniques ambigus, identifier les infections asymptomatiques lors du suivi médical de la grossesse et identifier plusieurs infections par différents agents pathogènes sexuellement transmissibles
L’intolérance primaire au lactose est basée sur une déficience d’origine génétique de l’enzyme digestive appelée « lactase », responsable de la décomposition du lactose disaccharidique en glucose et en galactose. Le lactose est fermenté dans l’iléon et le gros intestin, ce qui donne des produits de fermentation qui provoquent des troubles de la digestion et les symptômes typiques de l’intolérance au lactose. Ceux-ci incluent des douleurs abdominales, des nausées, du météorisme et de la diarrhée. Les manifestations secondaires de la maladie peuvent inclure des carences (par exemple, une carence en vitamines) et, par conséquent, des symptômes non spécifiques tels que la fatigue, la fatigue chronique et la dépression.
Le bilan d’infertilité rassemble tous les examens permettant au praticien d’établir un diagnostic de l’infertilité du couple et de préconiser ainsi une prise en charge adaptée à sa situation les deux membres du couple, homme et femme, doivent être associés à égalité dans la recherche du diagnostic » , ce qui implique parfois la multiplication d’explorations médicales pour les deux membres du couple. Une double piste d’investigation qui doit permettre Bilan de fertilité : les examens de dépistage de l’infertilité masculine
- Le spermogramme
- Le spermocytogramme
- Test de fragmentation d’ADN
- Test de survie .
Le suivi du parcours de la femme enceinte permet une prise en charge adaptée pour éviter les complications et vivre la grossesse sereinement
Connaître votre statut immunitaire en particulier par rapport à la toxoplasmose et la rubéole
Dépister des pathologies pré-existantes ou infections qui pourraient survenir pendant votre grossesse, afin de prévenir les risques pour vous et votre enfant.
Confirmer le diagnostic D’autres examens peuvent être prescrits si vous présentez certains symptômes (douleurs, démangeaisons …)
Préparer l’accouchement Un bilan vous sera prescrit par l’anesthésiste avant l’accouchement pour s’assurer qu’il se passera dans les meilleures conditions.
Votre enfant présente une fièvre inexpliquée ?
L’ ECBU ou examen cytobactériologique des urines permet de rechercher une infection des voies urinaires.
Votre enfant présente une cassure de sa courbe de poids ou de taille ?
Un bilan d’exploration hormonal pourra lui être prescrit.
Votre enfant présente des troubles digestifs et/ ou de l’eczema ?
Le bilan allergologique recherche une sensibilité à un mélange d’allergènes les plus fréquents (Trophatop) ou bien d’allergènes unitaires spécifiques ( du lait, de l’œuf, de l’arachide par exemple).
Les examens biologiques courants sont souvent indispensables au diagnostic d’un grand nombre de « petits maux » de la vie quotidienne. Ces bilans sont aussi utiles pour des personnes en bonne santé et dans une démarche de prévention.
Vous vous sentez fatigué-e ?
Vous avez des vertiges ?
Vous urinez très souvent ?
Le bilan hormonal (ou bilan endocrinien) est un examen biologique qui consiste à doser dans le sang, et parfois dans les urines, des hormones. L’objectif : le dépistage de certaines atteintes hormonales responsables de maladies ou de troubles plus ou moins importants.
Certains dosages nécessitent d’être à jeun ou dans des conditions particulières (le matin, au calme…). Chez la femme, il peut être demandé à certaines périodes du cycle.
Les symptômes d’un déséquilibre hormonal
De nombreux symptômes peuvent signaler un déséquilibre hormonal, ils peuvent se manifester simultanément ou non mais ils seront différents en fonction des glandes et des hormones qui sont affectées. Voici les symptômes les plus fréquents d’un déséquilibre hormonal :
Une perte ou prise de poids subite et inexpliquée ;
Une transpiration excessive ;
Des troubles du sommeil ;
Une sensibilité plus forte au froid et à la chaleur ;
Des éruptions cutanées ;
Une fatigue inexpliquée ;
Des maux de tête ;
Des ballonnements ;
Une réduction de la libido.
Réalisation du prélèvement
• Urines du matin ou ayant séjourné au moins 4h dans la vessie.
• Effectuer un lavage hygiénique des mains au savon.
• Verser l’antiseptique sur la compresse (les deux délivrés par le LIAB) et effectuer une toilette locale soigneuse de la région vulvaire chez la femme et du méat urinaire chez l’homme.
• Eliminer le premier jet urinaire dans les toilettes puis recueillir le 2ème jet urinaire dans le flacon propre délivré par le LIAB.
• Bien refermer le flacon.
Acheminement :
• Acheminer rapidement les urines au laboratoire dans un délai de moins de 2 heures à température ambiante.
• Si l’acheminement dans un délai de 2 heures n’est pas possible, conserver le flacon maximum 12 heures au réfrigérateur entre 2 et 8°C, et le préciser obligatoirement au laboratoire lors du dépôt de l’échantillon.
Prélèvement à effectuer en dehors des règles et sans avoir procédé à une toilette intime récente
Eviter un rapport sexuel la veille de l’examen
Arrêt, depuis au moins 4 semaines avant le test, de tout traitement antibiotique. – Arrêt des anti-sécrétoires depuis 2 semaines (IPP, anti-H2, …). – Arrêt des anti-acides et pansements gastro-intestinaux depuis 24 heures. – Le patient doit être à jeun depuis au moins 6 heures ou de préférence depuis la veille du jour du test
Pour un recueil à domicile, l’accord du biologiste est obligatoire.
Les instructions à suivre sont les suivantes :
• Observer une abstinence sexuelle de 2 à 5 jours maximum, c’est-à-dire sans relation sexuelle ni masturbation.
• Il est conseillé de boire 1 litre d’eau la veille au soir du recueil.
• Le pot de recueil large stérile et étiqueté (nom, prénom, numéro dossier)fourni par LIAB
• Vider la vessie (uriner) avant le recueil du sperme.
• Se laver très soigneusement les mains avec du savon liquide.
• Se laver très soigneusement le gland, le méat, le sillon balano-préputial, le prépuce avec les mains et le savon liquide.
• Rincer abondamment
• Ouvrir le pot de recueil stérile (fourni par le laboratoire).
• Pratiquer la masturbation.
• Recueillir la totalité du sperme dans le pot de recueil et bien le reboucher. En cas de perte d’une partie de l’éjaculat, le signaler au laboratoire.
• Préciser au laboratoire le délai d’abstinence et le(les) traitement(s) en cours.
• Noter la date et l’heure du recueil
Quand réaliser le prélèvement :
Le prélèvement doit se faire le matin entre 8h30 et 10h00, éviter le samedi, dimanche et jours fériés
Acheminement :
Le pot de recueil doit être acheminé au laboratoire dans la demi-heure suivant le recueil à une température comprise entre 20°C et 37°C (dans une poche intérieure, par exemple).
Procurez-vous au laboratoire un bidon spécifique (fourni gratuitement), avec une étiquette comprenant votre Nom, prénom et Numéro de votre dossier pour le recueil des urines.
Ø Ne pas laver le bidon utilisez le tel qu’il vous a été livré au laboratoire (LIAB)
Ø !!!! Pour les femmes, éviter la période de menstruation.
Ø Evitez toute activité physique intense pendant les 24 Heures avant le début du recueil des urines.
Ø Comment réaliser le prélèvement :
ü Recueil des urines pendant 24H
ü Notez la date et l’heure du début de recueil pour vous rappeler le début du recueil des urines.
ü Vider la vessie et puis Consommer 1.5 à 2L de liquide au cours des 24 heures du recueil.
ü A partir de ce moment, recueillez la totalité des urines de la journée et de la nuit dans le bidon remis par le laboratoire TOUT EN GARDANT LE BIDON DES URINES RECUEILLIS AU REFRIGERATEUR
ü Après 24 Heures c’est à dire à la même du début du recueil la veille, urinez une dernière fois dans le bidon puis l’acheminer au LIAB.
Ø Acheminement du bidon contenant les urines recueillis pendant 24 heures :
ü Le bidon doit être acheminé au laboratoire dans les plus brefs délais.
ü S’il n’y a pas de possibilités de l’acheminer de suite conservez le bidon comprenant les urines recueillis pendant 24 heures au réfrigérateur (+4°C) au maximum.
Connu aussi sous le nom test de tolérance au glucose oral (TTGO) ,est un examen qui permet de diagnostiquer des troubles liés à la glycémie, notamment le diabète gestationnel Glycémie à jeun*:
L’échantillon pour glycémie à jeun doit être prélevé après un jeûne de 8 heures.
Le diabète est défini par une glycémie supérieure à 1,26 g/l (7 mmol/l) après un jeûne
de 8 heures et vérifiée à deux reprises. Glycémie* post prandiale
Le prélèvement pour la glycémie* post prandiale doit être effectué 2 heures
après ingestion d’une charge de 75g de glucose ou d’un repas.
Ne pas effectuer le test chez les sujets de plus de 70 ans ;
Ne pas effectuer chez le sujet diabétique ;
Une maladie digestive est une pathologie affectant une partie du système digestif, qu’il s’agisse du tube digestif (l’œsophage, l’intestin grêle, le côlon, le rectum, l’anus) ou des glandes digestives (le foie, les voies biliaires, le pancréas).
Les symptômes d’un déséquilibre gastrique
De nombreux symptômes peuvent signaler comme :
*Des douleurs abdominales
*fatigue
*Brûlure gastriques
*pertes de poids
*Un ballonnement
*Diarrhée.
*Constipation.
Des tests sont prescrit en cas de présence l’un de ces symptômes comme :
*les anti transglutaminases IgA et IgG , les anti endomysium, anti gliadine et HLA DQ2 ,HLA DQ8 en cas de maladie coeliaque .
*les anti scaromyces igA et IgG , calprotectine , les anticorps anti cytoplasme neutrophile ANCA , calprotectine en cas de la maladie du crohn et RCH
Les cryoglobulines sont des globulines sériques dont la caractéristique est de précipiter, gélifier ou cristalliser à une T° < 37°C et de se ressolubiliser après réchauffement.
Les conditions strictes de prélèvement doivent être respectées .Le non-respect de ces conditions conduira à un résultat qui pourrait être faussement négatif.
le prélevement doit etré réalisée comme suite :
prélevés dans deux tube secs et ce par un matériel préchauffé à 37°c (Aiguille, tube, garrot, coton, solution d’asepsie)
* Centrifuger immédiatement les tubes à 37 °C
* Recueillir le sérum et le placer immédiatement à 4°C
le prélèvement de compte addis doit être réalisé comme suite :
* Vider complètement la vessie
* Boire un grand verre d’eau (250ml),
* Se reposer en décubitus pendant 3 heures,
* Recueillir la totalité des urines à la 3ème heure dans le flacon fourni par LIAB
* Fermer hermétiquement le flacon
L’Acheminement :
*Doit être rapide dans les 2 heures qui suivent le prélèvement
* si l’acheminement immédiat est impossible,placer le flacon au réfrigérateur à(2°- 8C°) (12 heures maximum)
Un consensus d’experts sur le diabète gestationnel a été élaboré en 2010 par la SFD (Société Francophone du Diabète) et le CNGOF (Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français) [1]. Il porte essentiellement sur le dépistage, les risques materno-foetaux et la prise en charge obstétricale, diabétologique et néonatale.
Dépistage ciblé en fonction des facteurs de risques :
(âge ≥ 35 ans, IMC ≥ 25kg/m2, antécédents familiaux de diabète 1er degré ou personnels de DG ou macrosomie)
Méthode de dépistage du DG :
– au 1er trimestre de grossesse : glycémie à jeun
– entre 24 et 28ème semaine : HGPO (75g glucose)
Critères diagnostic du DG :
Glycémies :
≥ 0.92g/L (5.1mmom/l) à jeun
≥ 1.80g/L (10mmom/l) à 1h
≥1.53g/L (8.5mmol/l) à 2h
Une seule valeur pathologique suffit à poser le diagnostic de DG